Trucs et conseils
Depuis quelques jours, le Gouvernement entrevoit tranquillement la possibilité d’un déconfinement partiel et modéré. L’avenir nous dira ce qui en est, car les jours avancent, mais ne se ressemblent pas! (sauf pour nous tous qui sommes à la maison!) Si la situation actuelle comporte son lot de complexité, Geneviève Hétu, courtier d’assurance chez AMR, voit du positif dans le fait de travailler de la maison.
Alors cette semaine, dans le cadre de notre série d’articles sur la vie de nos courtiers en confinement, découvrez Geneviève Hétu : en mode télétravail!
Est-ce ta première expérience de télétravail ?
Geneviève : Non, pas du tout. J’ai eu l’occasion de faire du télétravail dans le cadre de mes emplois précédents. Alors cette situation n’est pas nouvelle pour moi. Je connaissais déjà bien les rouages et l’organisation que ça demande.
En plus, en travaillant de chez moi, je gagne au moins une heure de voyagement aller-retour puisque je n’habite pas à Sherbrooke. Ça me laisse donc beaucoup plus de temps dans ma journée!
Comment se passe ton confinement ?
Geneviève : Je suis une personne assez autonome et indépendante, je me gère très bien toute seule à la maison! (rires) C’est assez facile d’avoir accès à tout ce qu’on a besoin; et même au travail, j’ai accès très facilement à mes clients, aux assureurs, à mes collègues, etc. Donc le confinement ne me pose pas de problème particulier.
Je dois quand même avouer que mes collègues de travail me manquent… c’est quand même le fun de travailler en équipe!
Présente-nous ta nouvelle collègue de bureau !
Geneviève : (rires) J’ai une petite fille de 12 ans et j’ai beaucoup de chance, car elle est très calme et respectueuse. Elle comprend très bien la situation. Par contre, vive Netflix et YouTube (rires)! Il ne faudrait pas que je coupe le WiFI dans la maison, ça serait la fin du monde!
Sinon, même si elle apprécie le fait de rester à la maison, elle est très déçue, car comme elle était en 6e année, et son petit bal de finissants et son voyage de fin d’années à Ottawa ont évidemment été annulés.
Quelle activité te manque le plus actuellement ?
Geneviève : C’est sûr que les happy hours avec mes chums de filles sur mon patio me manquent beaucoup! (rires) J’adore recevoir à la maison… c’est surtout le côté social de ma vie qui me manque particulièrement, comme beaucoup d’ailleurs.
Sinon je fais de la moto, mais encore là on n’a pas vraiment eu de beau temps à date. Mais j’ai espoir de pouvoir la sortir bientôt et profiter de petites promenades!
Quelle sera la première chose que tu feras quand cette situation sera terminée ?
Geneviève : Des happy hours avec mes amies!! (rires)
Qu’est-ce que cela vous fait de savoir que votre métier de courtier d’assurance est un service essentiel?
Geneviève : Je me suis d’abord senti choyé d’avoir la chance de garder mon emploi. Puis Christopher et Marie-Eve ont vraiment été proactifs depuis le début du confinement, et même avant. Ils avaient tout prévu et nous étions tous bien installés en télétravail avant même l’annonce officielle du confinement obligatoire par le Gouvernement.
On n’a pas manqué d’ouvrage et nous avons réussi à faire le changement de mode opératoire sans augmenter le temps d’attente de nos clients au téléphone. Donc ça a vraiment bien été, et je suis fière de faire mon métier et de pouvoir aider les gens.
D’ailleurs, c’est le moment parfait pour nos clients de revoir leur portefeuille et d’évaluer leurs besoins en assurances comme il faut. Ils nous appellent et ensemble, on prend le temps de mettre les dossiers à jours et ensuite, je trouve le meilleur moyen de les faire économiser pour la prochaine année, car ce ne sera pas facile pour tout le monde. Alors si je peux leur faire économiser de l’argent sur leurs assurances, ça sera au moins ça de fait!
De quelle façon crois-tu que cette pandémie changera le monde et sa façon de fonctionner ?
Geneviève : Et bien déjà, ce qui me frappe le plus c’est de voir combien les indices de pollution à travers le monde ont diminué significativement en peu de temps. Ça démontre qu’on est capable de changer les choses. Ça nous fait réfléchir sur notre quotidien, et tous nos déplacements et dépenses inutiles…
On réalise peut-être mieux qu’on se créer des besoins qui au final, ne sont absolument pas essentiels. Alors si tout le monde baisse son niveau de consommation, ça aura été une très bonne chose.
En tout cas, mon portefeuille est bien content lui d’être en confinement! (rires)