Assurances aux particuliers - AMR

Assurances aux particuliers

Choisir AMR, c’est choisir une relation de confiance, la tranquillité d’esprit et une foule d’offres qui vous permettront d’économiser! Trouvez l’assurance (et le courtier!) qui répondra à vos besoins.

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Assurances aux entreprises

Qui de mieux placé qu’une entreprise pour comprendre la réalité de votre entreprise?

Puisqu’il n’y a pas deux entreprises semblables, laissez nos courtiers indépendants s’occuper de trouver ce qui vous convient le mieux!

AMR Portrait d’employé : Catherine Gagnon

Parle-nous un peu de toi, de ton parcours?

« J’ai consacré une grande partie de ma vie professionnelle au domaine de la santé, plus précisément aux soins infirmiers, en travaillant en tant que préposée pendant 15 ans au sein d’établissements hospitaliers. En parallèle, j’ai partagé mes connaissances en enseignant dans le cadre de la formation professionnelle pour les préposés. Mon parcours a été marqué par des années de service dans un contexte particulièrement exigeant, notamment en raison de la pandémie de COVID-19, avec ses multiples vagues et des horaires difficiles à gérer. Après avoir exploré une nouvelle facette de ma carrière au sein d’une clinique de podiatrie pendant un an, j’ai réalisé que je vivais un tournant professionnel majeur ».

Pourquoi avoir choisi le monde de l’assurance?

« Mon intérêt pour le domaine de l’assurance avait commencé à germer dans mon esprit. Je recherchais une transition professionnelle qui allierait le contact humain, l’aide et l’écoute, et c’est à travers cette réflexion que le secteur de l’assurance a captivé mon attention. Le désir d’apporter une assistance différenciée, en écoutant attentivement les besoins des individus et en les accompagnant, m’a poussée à entreprendre cette nouvelle aventure ».

Pourquoi AMR?

« La décision de rejoindre AMR a été influencée par plusieurs facteurs, dont la visibilité médiatique de l’entreprise à travers les réseaux sociaux. Les publicités empreintes d’humour ont attiré mon attention, révélant une ambiance conviviale et ouverte. En envoyant mon curriculum vitae à diverses grandes entreprises et à AMR, j’ai finalement opté pour cette dernière en raison de son atmosphère familiale, de sa proximité et de l’esprit d’équipe tangible entre les collègues. L’idée que nous sommes tous dans le même bateau, nous soutenant mutuellement, a renforcé ma conviction de choisir AMR comme lieu où je pourrais m’épanouir professionnellement ».

Qu’est-ce qui fait de toi une bonne conseillère en assurance?

« Je suis convaincue que ma force réside dans ma capacité à écouter attentivement les besoins de mes clients. Mon expérience dans le domaine de la santé m’a dotée d’une sensibilité particulière pour comprendre les situations difficiles vécues par les individus. Mon sens de l’écoute et ma capacité à transformer des situations stressantes en interactions positives font de moi une conseillère en assurance efficace ».

Tes défis au quotidien?

« Chaque jour apporte son lot de défis, principalement en raison de la diversité de clients et des nombreux assureurs avec lesquels je travaille. Jongler avec des dossiers allant des plus simples aux plus complexes constitue un défi stimulant et varié. Cette diversité m’oblige à rester constamment vigilante et à développer des compétences d’adaptation pour répondre aux besoins variés de ma clientèle. C’est un aspect de mon travail que j’apprécie, car il rend chaque journée unique et agréable ».

Un conseil que tu peux donner à ta clientèle?

« Un conseil que je partagerais avec ma clientèle serait de ne pas se baser uniquement sur le coût de la prime d’assurance. Opter systématiquement pour l’option la moins chère n’est pas toujours synonyme de la meilleure couverture. Il est essentiel de s’assurer d’une couverture adéquate et de considérer la qualité du service qui l’accompagne. Engager une conversation avec un courtier permet d’aller au-delà des simples chiffres. Parfois, des primes plus élevées peuvent être associées à un service de qualité et à des explications claires sur les protections offertes. Il est donc judicieux de prendre en compte non seulement le coût financier, mais également la qualité du service lors du choix de son assurance ».

Ton emoji pref?

« C’est un peu compliqué à décrire, mais le petit bonhomme qui pleure de rire représente bien mon état d’esprit! ». 😂

Un fun fact sur toi?

« J’ai un chien qui fait 210 livres… un Saint-Bernard. Il se peut que je sois occasionnellement victime de débordements de bave. C’est un classique! ».

Votre enfant a un dossier criminel : devez-vous le déclarer à votre assureur?

Malgré toutes les bonnes valeurs inculquées à nos enfants, il peut arriver qu’ils commettent des écarts de conduite leur valant un dossier criminel. Et même s’ils reviennent sur le droit chemin, en tant que parents, nous sommes tous inquiets à l’idée que leurs erreurs de jeunesse puissent les suivre toute leur vie et complexifier leur avenir. Mais avez-vous pensé que leurs mauvaises décisions pouvaient aussi avoir un impact sur votre propre vie ? Eh oui, si votre enfant vit toujours sous votre toit, cela risque d’affecter vos assurances.

Dans cet article, Assurances Multi-Risques souhaite donc vous informer sur le sujet, et surtout, vous outiller pour éviter tout problème d’assurance si vous vivez une telle situation.

Confidentialité et responsabilité parentale

Lorsqu’un enfant commet un délit, les parents se trouvent souvent face à un dilemme moral. D’un côté, il y a le devoir de protéger leur enfant, et de l’autre, la responsabilité en tant que citoyen de respecter la loi. En matière d’assurance, la question se pose de savoir dans quelle mesure les parents doivent partager ces informations avec leur assureur.

Ne pas déclarer le dossier criminel de votre enfant : quelles conséquences ?

Selon les articles 2466 et 2467 du Code civil du Québec, vous êtes tenu, en tant qu’assuré, de déclarer à votre assureur toute circonstance de nature à l’influencer de façon importante l’établissement du taux de la prime, l’appréciation du risque ou la décision de maintenir l’assurance en place, et même, d’accepter d’assurer ou pas. Vous l’aurez deviné : le fait que quelqu’un habitant sous votre toit en ait un fait partie de ces circonstances aggravantes.

Pourquoi le déclarer alors si vous risquez de ne plus être assuré ?

Parce qu’en cas de réclamation, votre assureur risque fortement de refuser de vous indemniser en découvrant le pot aux roses ! Croyez-nous, vous ne voulez pas que votre compagnie d’assurance invoque la nullité ab initio de votre police d’assurance habitation pour non-déclaration d’un dossier criminel et qu’il vous rembourse les primes que vous avez payées pour mettre fin à votre contrat.

Certains de nos assurés nous mentionnent parfois qu’un assureur ne leur a pas demandé si quelqu’un vivant sous leur toit avait un dossier criminel. Mais même si vous ne vous faites pas poser la question, vous devez quand même déclarer cette information à votre assureur !

Obligations envers l’assureur

La plupart des polices d’assurance exigent que l’assuré communique toutes les informations pertinentes à la compagnie d’assurance. Cela inclut généralement les changements importants dans la situation familiale. Ne pas divulguer des informations cruciales pourrait avoir des conséquences sur la validité de la police d’assurance en cas de sinistre.

Conséquences juridiques

En fonction de la juridiction, il peut exister des lois régissant la divulgation des antécédents criminels des membres de la famille à l’assureur. Ne pas respecter ces règles peut entraîner des sanctions légales et la nullité de la couverture d’assurance.

Impact sur la prime d’assurance

La divulgation d’un dossier criminel peut influencer la prime d’assurance. Certains assureurs peuvent ajuster les tarifs en fonction du risque perçu associé à la personne ayant des antécédents criminels. Il est donc important de considérer l’impact financier potentiel avant de prendre une décision.

Conclusion

Pour trouver l’assureur qui convient à vos besoins et obtenir le meilleur rapport qualité-prix pour votre assurance habitation, nous vous conseillons fortement de contacter un courtier d’assurance indépendant spécialisé dans les dossiers criminels. Vous éviterez ainsi de devoir raconter votre histoire à plusieurs assureurs, tout ça, pour ne récolter que des refus d’assurance. Vous augmenterez ainsi vos chances de vous assurer plus rapidement et pourrez passer plus de temps avec votre enfant.

Nouveaux conducteurs : êtes-vous bien assurés?

Les nouveaux conducteurs sont souvent confrontés à de nombreux défis lorsqu’il s’agit de trouver une assurance automobile adaptée. Il est essentiel de comprendre les différentes options disponibles pour garantir une couverture adéquate tout en respectant son budget.

Tout d’abord, il est crucial de prendre en compte le type de couverture nécessaire. Les polices d’assurance automobile varient en termes de responsabilité civile, de couverture des dommages matériels et de protection contre les blessures corporelles. Évaluer soigneusement ces aspects permet de déterminer le niveau de protection requis.

Les primes d’assurance peuvent varier considérablement en fonction de divers facteurs, tels que l’âge, le sexe, le type de véhicule et même la localisation géographique. Les nouveaux conducteurs doivent comparer attentivement les offres de différentes compagnies d’assurance pour trouver la meilleure option en termes de coût et de prestations.

Pour vous guider au sujet de l’assurance automobile pour jeune conducteur, nous avons posé 5 questions à Marie-Pier Gingras, courtier en assurance de dommages chez AMR! En espérant que cet article puisse vous éclairer et vous éviter bien des problèmes!

Quels sont les réflexes à avoir lorsqu’on est parent d’un enfant qui commence ses cours de conduite au niveau de l’assurance automobile?

Marie-Pier : En fait, comme il va probablement conduire la voiture de ses parents pour se pratiquer, c’est important d’aviser l’assureur qui couvre le ou les véhicules qui seront utilisés par le jeune.

Évidemment, les risques d’avoir un accident sont plus grands puisque l’apprenti conducteur n’a que très peu d’expérience de conduite. Un assureur veut toujours savoir qui il assure, et dans quelle mesure. C’est toujours une question de gestion du risque. C’est donc très important de contacter votre courtier d’assurance à ce sujet, parce qu’il y a des risques ne sont pas couverts par les assureurs!

Que faire si le jeune conducteur emprunte occasionnellement le véhicule, une fois son permis probatoire en poche?

Marie-Pier : Une fois que le jeune possède son permis probatoire, il pourra donc conduire seul et sans assistance. Des fois les gens pensent qu’avec le permis probatoire en main, ça va coûter moins cher d’assurance, mais c’est rarement le cas. En effet, un jeune qui peut enfin conduire sans supervision, avec le peu d’expérience qu’il a, ça augmente nettement le risque de sinistre!

Encore une fois, c’est très important que l’assureur soit tenu au courant de ces changements, même si l’enfant n’emprunte qu’occasionnellement le véhicule de ses parents. Assurez-vous que vous soyez couvert en cas d’accident si votre jeune est au volant!

Imaginons qu’un parent n’ait pas averti son assureur que son enfant détenait désormais son permis probatoire, qu’il empruntait la voiture quelques fois par mois et que celui-ci avait un accident de la route, qu’arriverait-il?

Marie-Pier : C’est vraiment du cas par cas! Si vous avez un doute, parce que c’est vrai, des fois on prête notre voiture et on ne sait pas trop si on doit contacter notre assureur ou non, si on est couvert ou non, et bien vaut mieux appeler votre courtier! À ce moment-là, nous on appelle votre assureur et on valide avec eux ce qu’ils en pensent. Certains sont plus flexibles que d’autres à ce niveau-là.

Mais en cas d’accident, si votre enfant conduit occasionnellement votre véhicule et qu’il n’est pas sur votre police d’assurance auto, l’assureur va d’abord faire une enquête. Il vérifiera le permis et si la personne a eu d’autres sinistres dans le passé. L’assureur risque d’appliquer l’article 2411 du Code civil du Québec en payant proportionnellement votre indemnité en fonction de la prime que vous auriez dû normalement payer si vous aviez déclaré votre jeune conducteur.

Et si le jeune conducteur s’achète ou loue son premier véhicule, le parent peut-il souscrire à une assurance auto pour son enfant?

Marie-Pier : C’est vraiment le propriétaire immatriculé qui doit appeler pour ses assurances. Un parent ne peut pas prendre une assurance automobile au nom de son enfant. Le jeune, soit la personne assurée, doit lui-même contacter un assureur ou un courtier d’assurance pour souscrire à une assurance.

Par contre, les parents peuvent aider leur enfant dans ce processus en étant présents lors de l’appel téléphonique par exemple, pour l’aider à répondre aux nombreuses questions qui sont posées par l’agent ou le courtier. Souvent, les jeunes ne connaissent pas beaucoup l’assurance et ne comprennent pas trop ce que ça implique, c’est pour ça que l’aide des parents est toujours bénéfique au départ!

Ton meilleur conseil d’assurance pour les jeunes conducteurs

Marie-Pier : Mon meilleur conseil, ça serait d’appeler un courtier d’assurance indépendant qui va magasiner pour lui les primes d’assurances chez plusieurs assureurs. Parce qu’en ayant très peu d’expérience de conduite, et peu (ou pas!) d’expérience d’assurance ça peut coûter plus cher au début.

Les informations de crédit sont aussi demandées par les assureurs, mais à 16 ans, on n’a pas encore de carte de crédit donc c’est un peu plus compliqué à ce moment-là! Les primes peuvent varier d’un assureur à l’autre donc ça vaut vraiment la peine de travailler avec un courtier parce qu’il aura accès à de meilleures primes, et de trouver les protections adéquates aussi! Parce que les jeunes souvent n’ont pas beaucoup d’argent alors ils ont tendance à assurer leur véhicule que d’un côté, mais ça peut ne pas être la meilleure décision les concernant. Un courtier va mieux les conseiller! À cet âge-là une auto c’est très très gros investissement, et il ne faudrait pas tout perdre faute d’avoir été bien assuré.

Et par expérience, quand j’étais jeune, quand j’ai voulu m’assurer la première fois, j’ai vu des primes tellement différentes l’une de l’autre, donc oui, appeler un courtier peut vraiment aider à prendre la meilleure décision niveau assurance auto!

Assurer un véhicule électrique: plus cher, vraiment?

Un récent article paru dans La Presse met en lumière les difficultés que rencontrent les conducteurs de voitures électriques du Royaume-Uni au moment d’assurer leur véhicule. Entre les assureurs qui refusent d’assurer des véhicules électriques et les primes élevées à payer pour éviter les mauvaises surprises, l’enjeu est-il le même au Royaume-Uni et au Québec?

Dans cet article de blogue, AMR Assurances Multi-Risques démystifie les raisons ayant menées à ces primes élevées ainsi que le contexte justifiant l’état de l’assurance des véhicules électriques au Québec. Et parce qu‘il y a une solution à tout problème, nos conseillers partagent de judicieux conseils pour les propriétaires de véhicules à émission nette zéro, de véhicules hybrides électriques ou encore de véhicules hybrides électriques rechargeables.

Une situation rassurante pour le Québec

André Dubuc de La Presse se veut rassurant dans son article: la situation n’est pas la même au Québec. Ce dernier s’est entretenu avec Thomas, président du conseil chez Gallagher GPL, qui assure que les montants d’assurances payés sont largement compensés par les économies réalisées sur la consommation d’essence et les dépenses liées à l’entretien du véhicule.

Dans le même ordre d’idée, Benoit Loyer, conseiller chez Desjardins assurance de dommage, souligne qu’« on donne des rabais sur les primes de véhicules à faible consommation d’essence et aux véhicules électriques ». Le Gouvernement du Québec a d’ailleurs dressé la liste des véhicules électriques admissibles à un rabais à l’achat ou à la location d’un véhicule électrique neuf.

Primes d’assurances plus élevées : les raisons

Plusieurs éléments doivent être pris en compte pour expliquer ces primes d’assurances pouvant être de 10% à 20% plus élevées qu’une assurance pour un véhicule à combustion. Parmi ces raisons, Louis-Thomas Labbé identifie les suivantes :

Modèles plus chers

Bien que certains modèles de véhicules électriques soient de plus en plus abordables, il n’en demeure pas moins qu’acheter un véhicule électrique neuf risque de coûter plus cher. Ajoutons également que les voitures électriques sont munies de technologies avancées (pensons aux véhicules dont la conduite est semi-autonome ou entièrement autonome) qui augmentent nécessairement la valeur du véhicule et, conséquemment, la prime d’assurance à payer. Toutefois, bien que les véhicules électriques en intègrent souvent, Benoît Loyer « fait valoir que c’est la technologie embarquée à bord du véhicule qui fait monter le montant des sinistres, pas que la voiture soit électrique ».

Pour davantage de détails sur ce qui influence le prix de votre police d’assurance, consultez notre article sur le sujet.

Délais de livraison et problèmes d’approvisionnement

En effet, si un véhicule électrique nécessite une réparation, les délais de livraison des pièces seront plus longs en raison du nombre encore peu élevé (quoique croissant) de véhicules électriques présents sur les routes du Québec. Les délais de livraison engendrent, à leur tour, des problèmes d’approvisionnement lors de la réparation ou du remplacement de pièces.

Pénurie d’emploi

Malheureusement, le secteur de la mécanique automobile n’échappe pas à la pénurie d’emploi qui perdure actuellement. Daniel Breton, porte-parole de Mobilité Électrique Canada, ajoute également que la formation des mécaniciens, des réparateurs et des débosseleurs est un enjeu qui pèse dans la balance puisque ces derniers doivent se former pour être en mesure de réparer adéquatement des véhicules électriques.

Entre mythes et réalité : AMR fait la part des choses

En accord avec M.Breton, AMR Assurance Multi-risques souhaite faire la lumière sur les mythes qui circulent sur les véhicules électriques.

Plusieurs histoires circulent au sujet de problèmes rencontrés avec des véhicules électriques: batteries qui s’enflamment, collision causant une perte totale en raison de l’état de la batterie, etc.Toutefois, ces affirmations sont fausses, indique Daniel Breton, porte-parole de Mobilité Électrique. Il appuie ses propos en citant des données suédoises rapportées par la publication Motor Trend en juillet dernier et souligne que « [l]es dernières statistiques indiquent que le véhicule à essence a 29 fois plus de risques de prendre feu qu’un véhicule électrique ».

L’importance du courtier d’assurance spécialisé

En tant que conseiller, notre priorité est de guider nos clients vers des assureurs offrant des primes d’assurances qui correspondent réellement à leurs besoins. Un assureur spécialisé veillera à couvrir les particularités de votre véhicule électrique pour que vous n’ayez pas de mauvaises surprises!

AMR Assurances Multi-risques vous suggère également de trouver votre assureur avant l’achat de votre véhicule électrique. Ainsi, vous serez déjà informé du montant approximatif de vos assurances et vous pourrez ajuster votre budget en fonction du montant à payer.

En conclusion

Plusieurs raisons expliquent le coût d’une assurance pour véhicule électrique: délais de livraison, problèmes d’approvisionnement, pénurie d’emploi, etc. Toutefois, les experts du domaine nous le confirment: les montants payés en assurances sont largement compensés par les économies sur la consommation et les dépenses liées à l’entretien, comme le souligne cet autre article paru dans La Presse.

Par ailleurs, Statistiques Canada a calculé que « 21% des véhicules neufs enregistrés au Québec au cours du 2e trimestre 2023 sont à émission nette zéro ou hybrides électriques ou encore hybrides électriques rechargeables ».

Entrevue d’expert: la cybersécurité décortiquée

L’univers du web est vaste et son existence facilite nos vies à plusieurs niveaux. La recherche et l’échange d’informations n’ont jamais été aussi rapides et simples. Communiquer avec quelqu’un vivant loin est désormais facile. Il suffit de toucher l’écran de votre téléphone pour être connecté.

Vendre et acheter sur Internet est aussi devenue une habitude. Plusieurs se retournent vers des géants comme Amazon pour se procurer des items de la vie courante. Toutefois, votre présence en ligne à un prix à payer.

Ce prix à payer, ce sont vos données personnelles : votre nom, votre sexe, votre date de naissance, votre adresse domiciliaire, le numéro de votre carte de crédit, numéro d’assurance social, etc.

Dans cet article, Assurances Multi-Risques souhaite vous mettre en garde contre les risques du cyberespace. Nous avons parlé à un expert en sécurité informatique pour vous expliquer comment protéger vos données de manière efficace.

Entretien avec un expert en cybersécurité

Steve Waterhouse, ancien officier de la sécurité informatique au ministère de la Défense nationale, est maintenant professeur à l’Université de Sherbrooke. Ses années d’expérience et ses connaissances en technologie et en sécurité informatique lui ont permis de répondre aux questions fréquemment posées. Il confirme, sans surprise, que d’adopter une cyberhygiène en cette période d’incertitude et de fragilité est une priorité.

Fraudes et cyberattaques en période d’incertitude

Pendant la pandémie de Covid-19, une augmentation de l’activité des fraudeurs et des pirates informatiques a été détectée. Les gouvernements, la police, l’Autorité des marchés financiers et d’autres organisations ont averti la population à ce sujet.

En effet, durant une période d’incertitude comme celle-ci, la population est encore plus vulnérable aux cyberattaques :

« Les gens sont tellement dans l’émotivité qu’ils oublient de réfléchir avant de cliquer. C’est aussi simple que ça. Les pirates informatiques le savent parfaitement, alors ils créent des campagnes de publicité capables d’accrocher les gens », affirme M. Waterhouse.

Ce dernier ajoute que les particuliers et les entreprises sont tout aussi à risque d’être victime de fraudes ou de piratage informatique. Appels, SMS ou spams sont des méthodes utilisées par les cybercriminels pour arnaquer les entreprises et les particuliers. En soutirant des informations personnelles, leurs objectifs vont de la fraude financière, à l’usurpation d’identité et, parfois, même les deux.

Comment les pirates informatiques procèdent-ils auprès des entreprises?

Les pirates pénètrent dans le système d’une entreprise et cryptent toutes les données. Ensuite, ils demandent une rançon aux dirigeants de l’entreprise. Ils promettent de redonner l’accès au système ou de ne pas rendre publiques les données volées. Seule la finalité est différente.

M. Waterhouse affirme que les pirates utilisent les mêmes méthodes pour les entreprises et les particuliers, mais avec des objectifs différents.

Toutefois, depuis environ trois ans, les pirates attaquent deux fois plutôt qu’une. En effet, ils effectuent une copie de sauvegarde des données de l’entreprise. Une fois la première rançon payée, ils reviennent de plus belle en les menaçant une seconde fois.

« C’est parfois même du bluff, mais comme les entreprises n’ont aucun moyen d’en avoir la certitude, ils sont contraints de payer une deuxième rançon, sans aucune garantie qu’ils n’utiliseront pas les données volées dans l’avenir. Ça arrive malheureusement très souvent. Les entreprises doivent prendre conscience de ce danger et instaurer des systèmes de sécurité efficaces et sensibiliser leurs employés. Parfois, les failles de sécurité se produisent à l’interne comme on l’a vu pour Desjardins », explique M. Waterhouse.

Alors, comment bien protéger ses données personnelles?

Voici quelques mesures données par le Centre canadien pour la cybersécurité afin de mieux vous protéger contre les fraudes et les cyberattaques.

Courriels malveillants :

  • Assurez-vous que l’adresse ou la pièce jointe est liée au contenu du courriel;
  • Assurez-vous de connaître l’expéditeur du courriel;
  • Vérifiez s’il y a des coquilles;
  • Utilisez un logiciel antivirus ou antimaliciel sur vos ordinateurs.

Pièces jointes malveillantes :

  • Assurez-vous que l’adresse courriel de l’expéditeur comprend un nom d’utilisateur et un nom de domaine valides;
  • Méfiez-vous si le ton de l’expéditeur est urgent;
  • Si vous ne vous attendiez pas à recevoir une pièce jointe, vérifiez auprès de l’expéditeur.

Sites Web malveillants :

  • Assurez-vous que les URL sont bien épelées;
  • Tapez l’URL directement dans la barre de recherche au lieu de cliquer sur le lien fourni;
  • Avant de cliquer sur un lien, vérifiez qu’il vous mènera au bon site en passant votre curseur dessus.

4 moyens pratiques de renforcer votre cybersécurité :

  • Utilisez des mots et des phrases de passe uniques et complexes;
  • Mettez à jour vos ordinateurs, vos applications et vos appareils mobiles;
  • Stockez vos données de façon sécurisée et sachez comment récupérer les copies de sauvegarde;
  • Sécurisez vos comptes de médias sociaux et de courriel.

Concernant les réseaux sociaux :

  • Utilisez un mot de passe unique pour chacun de vos comptes;
  • Appliquez à votre compte toutes les options de sécurité et de confidentialité;
  • Consultez régulièrement les politiques de sécurité et de confidentialité du site Web de votre compte pour prendre connaissance de tout changement apporté;
  • Faites attention en cliquant sur des liens ou en ouvrant des pièces jointes de sites Web inconnus.
  • Signalez tout incident de sécurité suspect à votre équipe des TI;
  • Pour des raisons de confidentialité et de cybersécurité, faites preuve de jugement lorsque vous publiez des renseignements personnels sur les médias sociaux.

Victime d’un cybercrime?

Voici les étapes à suivre :

  1. Communiquez avec votre organisme local chargé de l’application de la loi (service de police) ou avec la GRC.
  2. Consultez la loi anti-pourriels pour savoir comment elle peut vous aider à vous protéger et à protéger votre entreprise contre les courriels et autres menaces électroniques.
  3. Si vous avez reçu un courriel auquel vous n’avez pas consenti ou un courriel qui vous semble trompeur ou frauduleux, nous vous suggérons fortement de le faire acheminer au Centre de notification des pourriels.
    Si vous pensez avoir été victime d’une tentative d’hameçonnage, d’une arnaque ou d’une fraude, vous pouvez signaler l’incident au Centre antifraude du Canada. Vous pouvez le faire par téléphone en composant le 1-888-495-8501 ou en utilisant le système de signalement des fraudes. Vous pouvez également signaler un courriel d’hameçonnage auprès de l’institution concernée.

Pour conclure

Vous êtes inquiets de la sécurité de vos systèmes informatiques personnels ou de ceux de votre entreprise? N’hésitez pas à communiquer avec les courtiers d’assurances indépendants d’AMR Assurances Multi-Risques.

Nos experts sauront vous conseiller vers le produit d’assurance qui vous convient! Plus encore, ils sauront vous rassurer et mettre en place des solutions pour que votre entreprise et vous-mêmes soyez bien protégés!

Êtes-vous bien assuré contre les cyberattaques personnelles?

Téléphones, ordinateurs, tablettes, téléviseurs, consoles de jeux vidéo, caméras de surveillance, thermostats connectés, dispositifs intégrés; presque tous les foyers canadiens possèdent au minimum un de ces appareils connectés

En effet, en Amérique du Nord, il y a 25 appareils en ligne pour 100 personnes. On estime qu’en 2020, il y aura 50 milliards d’appareils connectés dans le monde.

Les objets technologiques qui nous connectent à Internet sont devenus indispensables dans notre vie quotidienne. Cependant, ils comportent des risques. En effet, nous sommes tous, à un certain degré, vulnérables aux cyberattaques.

Assurances Multi-Risques explique en quoi consistent les cyberattaques, les précautions à prendre et l’importance de l’assurance contre les cyberrisques.

Qu’est-ce qu’une cyberattaque?

Une cyperattaque est un « [e]nsemble coordonné d’actions malveillantes conduites par l’intermédiaire du cyberespace, qui visent à endommager, à forcer ou à détourner un réseau ou un système informatique afin de commettre un acte préjudiciable ».Une cyperattaque est un « [e]nsemble coordonné d’actions malveillantes conduites par l’intermédiaire du cyberespace, qui visent à endommager, à forcer ou à détourner un réseau ou un système informatique afin de commettre un acte préjudiciable. » (https://www.quebec.ca/gouvernement/politiques-orientations/vitrine-numeriqc/politique-gouvernementale-de-cybersecurite/definitions#note1)

Il existe d’ailleurs plusieurs types de cyberattaques : hameçonnage, rançongiciel, talonnage, etc.

Les plateformes de réseaux sociaux et les moteurs de recherche recueillent d’innombrables données. Ces informations sont traitées en masse pour donner aux utilisateurs des réponses rapides et précises à leurs questions. Ces données générales (nom, âge, sexe) sont fortement recherchées, mais ne compromettent pas vos sécurité.

Les pirates informatiques ne veulent pas notre argent. Ils veulent plutôt vos données personnelles, comme vos mots de passe, vos informations bancaires et votre numéro d’assurance sociale. Ces données ont une bien plus grande valeur à leurs yeux.

Comment prévenir ces risques? C’est ce qu’on vous divulgue.

9 conseils pour prévenir les vols de données

Attaques de systèmes domestiques, violation de données, extorsion, diffamation, fraudes en ligne, vol d’identité… Ce genre de situation peut s’avérer catastrophique. Pour vous prémunir d’un tel cauchemar, Assurances Multi-Risques souhaite vous donner quelques astuces qui pourraient vous sauver la mise:

  1. Assurez-vous d’avoir des logiciels à jour, un antivirus ainsi qu’un pare-feu;
  2. Configurez votre ordinateur et votre réseau de façon sécuritaire;
  3. Choisissez de longs mots de passe, difficiles à deviner (utilisez des lettres majuscules et minuscules, des chiffres et des caractères spéciaux);
  4. Ne divulguez pas vos mots de passe! Gardez-les secret!
  5. Essayez de ne pas utiliser le même mot de passe deux fois et modifiez-le régulièrement;
  6. Ne cliquez pas sur les liens douteux dans les courriels, surtout s’ils vous demandent de changer de mot de passe. Changez uniquement vos mots de passe à partir des sites officiels;
  7. Consultez uniquement des sites internet fiables;
  8. Pour détecter les contrefaçons, soyez attentif à l’orthographe, à l’apparence générale d’un email ou d’un site et vérifiez l’URL du site.
  9. Évitez de transmettre des renseignements personnels à des personnes ou des organismes que vous ne connaissez pas bien.

Pour en savoir plus sur les bonnes méthodes pour éviter les cyberattaques, consultez les conseils du Gouvernement du Québec en matière de cybersécurité!

S’assurer contre les cyberrisques à titre personnel, c’est désormais possible!

Aucun réseau informatique n’est à l’abri de subir une cyberattaque. Jusqu’à récemment, l’assurance cyberrisque n’était proposée qu’aux entreprises, car la plupart détiennent des renseignements confidentiels sur leur clientèle. Dès qu’un site commerçant propose des achats en ligne, les données bancaires des clients sont également susceptibles d’être piratées.

Les entreprises connectées doivent se protéger contre les risques informatiques. C’est essentiel pour préserver leur sécurité et la confiance de leurs clients.

Qu’est-ce que l’assurance cyberprotection?

La couverture de la cyberprotection personnelle est composée de quatre éléments :

  • Cyberattaque
  • Cyberextorsion
  • Fraude en ligne
  • Violation de données

Selon le cas, la couverture regroupe notamment les coûts de récupération de données, les coûts de restauration du système informatique, l’aide professionnelle nécessaire en cas de cyberextorsion et le remboursement de sommes frauduleusement prélevées.

Saviez-vous que vous pouvez ajouter une protection d’assurance supplémentaire à votre contrat d’assurance? Vérifiez auprès de votre assureur ou contactez votre courtier pour savoir si vous pouvez bénéficier de cette protection. Il saura vous guider!

En conclusion

Tous les foyers sont concernés et sont vulnérables aux cyberattaques. Beaucoup de nos appareils connectés ne sont pas suffisamment sécurisés. Même si vous faites attention, les cybercriminels sont très imaginatifs et trouveront toujours des failles pour atteindre leurs objectifs.

Alors, soyez vigilant et contactez-nous! Nos courtiers sauront vous guider vers la protection dont vous avez besoin!